Pour l’avenir du français, n’oublions pas le rôle crucial des personnes enseignantes
Texte d’opinion d’Olivier Dezutter, cosigné par Katya Pelletier, présidente de l’Association québécoise des professeures et professeurs de français ; Marie-Claude Boivin, professeure et vice-doyenne associée à la langue française, Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal ; Martin Lépine, professeur et vice-doyen à la formation et à la culture, Faculté d’éducation, Université de Sherbrooke ; Isabelle Gauvin, professeure et vice-doyenne à la recherche, Faculté des sciences de l’éducation, Université du Québec à Montréal ; Érick Falardeau, professeur et directeur du Département d’études sur l’enseignement et l’apprentissage, Faculté des sciences de l’éducation, Université Laval ; Pascal Grégoire, professeur et directeur du Département d’éducation et de l’UER en sciences de l’éducation, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue.
Extrait : « Sans nier l’importance de ces sujets au regard des transformations profondes que connaissent nos sociétés, nous ne pouvons taire notre surprise, notre profonde déception et notre incompréhension de ne pas voir figurer parmi les thèmes stratégiques la question de l’enseignement du français à tous les ordres d’enseignement, ainsi que la manière de soutenir le rôle clé que jouent au quotidien les personnes enseignantes, premières garantes de la vitalité, de la qualité et de l’avenir du français au Québec. »